« Le monde est une famille, la solidarité une arme contre les souffrances », avais-je alors lancé à l’endroit de tous mes amis et connaissances lors de la célébration de la Journée Internationale de lutte contre la pauvreté, le 17 Octobre 2005.
Répondant spontanément à ce slogan mobilisateur pour ladite noble cause, tu as réagi avec empathie et générosité, mieux, en suscitant la création d’une fondation. Aussi as-tu partagé nos préoccupations humanitaires en contribuant à la réalisation de bien de projets porteurs d’espoir pour la lutte contre la pauvreté auprès des communautés et autres personnes vulnérables.
Bref, il y a tant de choses que nous aurions encore voulu accomplir ensemble, mais hélas, cela semble s’arrêter aujourd’hui et ce n’est plus avec ton implication personnelle que nous allons réaliser ce que nous espérions.
Qu’à cela ne tienne, nous nous souviendrons toujours de toi, en continuant à travailler sur tous ces projets sociaux qui te tenaient tant à cœur. Oui en agissant, nous n’oublierons jamais les paroles de Jésus-Christ que tu me rappelais souvent afin de m’encourager : “ce que vous faites pour les plus petits qui sont les siens, c’est à lui que vous le faites.”.
Fort malheureusement, Comme un mur, la mort nous sépare désormais de toi aujourd’hui, cela à la suite de ta tendre et généreuse épouse hier.
Sois-en rassuré, notre amitié et notre attachement en ta personne d’une humilité proverbiale demeurent vivaces et seront naturellement portés à ta progéniture que tu aimais tant.
En reconnaissance profonde de tout ce que tu as fait pour la Fondation FRANJAC donc, sache que les trésors de notre gratitude et de notre affection ainsi que nos intentions de prières t’accompagnent éternellement.